L’année est 2050. La Terre est toujours là, mais sa peau a changé de couleur.
Les teintes froides ont disparu, avalées par une lumière chaude, presque étouffante.
Le ciel, autrefois bleu, s’est teinté d’orange et d’ambre, comme si la planète entière vivait dans un crépuscule permanent.

Ces images, baignées de teintes orangées, ne sont pas seulement le reflet d’une catastrophe :
elles racontent un équilibre nouveau, fragile, entre la beauté et la brûlure.
Elles montrent un monde transformé par nos choix, mais encore habité, encore debout.
Car même sous la chaleur, même dans la lumière rougeoyante, la vie persiste : obstinée, résiliente, lumineuse.