Très très heureux de voir la suite couverte avec sérénité et brio. Bravo Jean-Mi et pour les cuisinières, je sens le fumet d’ici. Mmmmmm !!!
Bientôt le Prix Conilhac G ! A vous les studios !!!
Kitz 3.3.2013
Bonjour,
Braaaaaaaavo mesdames pour ce succulent repas. La tapenade délicatement parfumée sur ces toasts ne pouvait laisser présager qu’une suite ô combien ravageuse.
Le plat d’hypocrites nous laisse un souvenir encore fruyant, fuyant et odorant, car chez ces gens là, monsieur on parle toujours par derrière.
Quant à la crèpe, mais quel boheur, nutella mon ami comme tu me régales.
La soirée, mais quels abjectifs peuvent le mieux définir ce moment de pur rève; un infini bonheur, plus aucun souci, on traverse ces moments là en espérant juste que le temps s’arrête pour mieux nous laisser emporter pour savourer ces plaisirs.
Et puis vivre au milieu de fous qui soufflent, grattent, tappent sur tous ces objets parlant, un pur privilège.
Et puis bien sur ces instruments humains, ces voix dont l’harmonie se conjuguent parfaitement avec cet ensemble, comment ne pas traverser avec eux, avec vous ces bribes d’histoires conilhacquaises.
Merci à vous tous pour ce régal culinaire et musical que vous nous offrait
Très très heureux de voir la suite couverte avec sérénité et brio. Bravo Jean-Mi et pour les cuisinières, je sens le fumet d’ici. Mmmmmm !!!
Bientôt le Prix Conilhac G ! A vous les studios !!!
Kitz 3.3.2013
Bonjour,
Braaaaaaaavo mesdames pour ce succulent repas. La tapenade délicatement parfumée sur ces toasts ne pouvait laisser présager qu’une suite ô combien ravageuse.
Le plat d’hypocrites nous laisse un souvenir encore fruyant, fuyant et odorant, car chez ces gens là, monsieur on parle toujours par derrière.
Quant à la crèpe, mais quel boheur, nutella mon ami comme tu me régales.
La soirée, mais quels abjectifs peuvent le mieux définir ce moment de pur rève; un infini bonheur, plus aucun souci, on traverse ces moments là en espérant juste que le temps s’arrête pour mieux nous laisser emporter pour savourer ces plaisirs.
Et puis vivre au milieu de fous qui soufflent, grattent, tappent sur tous ces objets parlant, un pur privilège.
Et puis bien sur ces instruments humains, ces voix dont l’harmonie se conjuguent parfaitement avec cet ensemble, comment ne pas traverser avec eux, avec vous ces bribes d’histoires conilhacquaises.
Merci à vous tous pour ce régal culinaire et musical que vous nous offrait